Kriss F. Gardaz

Romancière

Réchauffement hivernal

Publié le 18 Janvier 2015 par Kriss F Gardaz dans Les voyageurs des miroirs

Recevoir en janvier, l'adorable message d'Alice, une petite fille de dix ans, celui, émouvant, de Corinne, la photo de Lou, 8 ans, plongée dans la lecture de la toute première version des Voyageurs des miroirs, les projets de partenariat d'Aurélie, une documentaliste, pour une classe de seconde "littérature et société" et de Coline, enseignante, pour deux classes de CM2, découvrir sur Babelio les critiques de Cicou sur "les Enfants des géants" et des collégiens de Castelginet sur "les Voyageurs des miroirs", savoir que Sarah, 13 ans, souhaite me rencontrer, que Frédérique ne lâche plus le dernier tome, apprendre que Célia, 10 ans, l'a dévoré pendant les vacances, moi je dis waouh, waouh, vous réchauffez mon hiver!!! Cezill!!!

Par Collegejacquesmaure, le 16 janvier 2015

Dans Les Voyageurs des Miroirs, Kriss Gardaz nous fait vivre les aventures de deux enfants Rose âgée de 12 ans et Andy âgé de 9 ans qui passent leurs vacances chez leur grand mère dans un manoir .La servante Peg leur raconte des histoires d'un étrange monde magique.Un jour, Rose décide d'explorer le grenier interdit. Elle y trouve une armoire qu'elle ouvre à l' aide de la clef volée dans le bureau de sa grand mère. Une pièce remplie de miroirs se révèle à ses yeux. Et elle entend des pleurs venant d'un des miroirs. Elle s'approche de plus près et par accident tombe dans le miroir d'où semblent provenir les pleurs suspects. Son frère trouvant son écharpe devant le miroir y va aussi...Ils se retrouvent alors bloqués dans un monde parallèle...
Nous avons aimés ce livre car,il y a plein de péripéties et d'aventures. Les héros principaux sont sympathiques et attachants . Il est facile à lire et on peut commencer à le lire à partir de l'age de 10-12 ans pour fille et garçon.
On vous conseille de le lire.

Lou, plongée dans la lecture de la toute première version des Voyageurs des miroirs.

Lou, plongée dans la lecture de la toute première version des Voyageurs des miroirs.

commentaires

Nous, enfants de Cabu.

Publié le 11 Janvier 2015 par Kriss F Gardaz dans Ma vie d'auteure

Sans oublier les autres, je voudrais m’adresser tout particulièrement à ceux qui, comme moi, sont des enfants de Cabu.

Mercredi 7 janvier 2015, des terroristes décolorés ont tué le Grand Duduche, cet adolescent dégingandé et maladroit croisé un jour au détour d’une page de magazine ou de BD. Pire peut-être, ils ont définitivement cassé le nez de Dorothée.

Les larmes de milliers d’orphelins ont coulé et, avec ces larmes, à travers ses larmes, Patrick Pelloux, imposant de dignité émue, a promis d’écrire le prochain Charlie.

Nous, enfants de Cabu depuis récré A2, nous qui avons grandi avec lui, l’avons suivi au Canard enchaîné et/ou à Charlie Hebdo, nous qui avons dressé le poing sur les musiques de Mano Solo, son fils, serons très tôt devant les kiosques à journaux mercredi prochain.

Ce numéro des survivants, nous l’achèterons, le lirons, le partagerons!!! Hommage à des hommes et à des femmes lâchement assassinés en France par des fondamentalistes religieux, hommage aux athées, chrétiens, juifs et musulmans qui sont morts, crayon, arme ou poireau à la main, pour défendre une idée, un rire, un inconnu. Ou rien.

A mon sens, le rassemblement d’aujourd’hui est le bras d'honneur d’une population, unie, qui refuse la bêtise, la haine et le fanatisme. A mon sens, le rassemblement d’aujourd’hui est un grand oui aux caricatures, aux couleurs et à la jouissance de la vie !

Parce que, quoi qu’il en coûte, plumes et crayons continueront à libérer les paroles, les rires et les êtres humains…

Nous, enfants de Cabu.Nous, enfants de Cabu.
commentaires

Tristesse

Publié le 7 Janvier 2015 par Kriss F Gardaz dans Ma vie d'auteure

Le Moyen-âge a frappé de façon sanglante des hommes qui n'avaient qu'un crayon à la main.

Tristesse...

Hommage de Kawan Nawak

Hommage de Kawan Nawak

commentaires

La bise

Publié le 5 Janvier 2015 par Kriss F Gardaz

Bien au chaud dans mon grenier, je savoure les mots d'un grand, très grand poète...

La bise fait le bruit d'un géant qui soupire;

La fenêtre palpite et la porte respire;

Le vent d'hiver glapit sous les toits;

Le feu fait à mon âtre une pâle dorure;

Le trou de ma serrure

Me souffle sur les doigts.

Victor Hugo

commentaires
1 2 > >>